Renata Andrade Renata Andrade est artiste et doctorante en arts visuels à l’Université de Paris 8 au sein de l'École Doctorale Esthétique, Sciences et Technologies des Arts (EDESTA) et chargée de cours à l’université de Lille. Elle mène une recherche intitulée Le cannibalisme dans l'art contemporain : appropriation de mythes et stratégies d’émancipation sous la direction d'Anne Creissels. Diplômée de l'Institut des arts scéniques à São Paulo (INDAC) et de la Faculté de Beaux Arts de São Paulo (FPA), elle conduit une démarche de recherche-création dans laquelle sa production artistique nourrit et s’enrichit de sa recherche théorique. |
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Marie Arias Marie Arias est membre du CeRAP (Centre de recherche sur l'Amérique préhispanique) et prépare son projet de thèse en archéologie andine. Son Master 2 s'intitule "La culture Huari, vers une réévaluation d'un "empire" à travers l'iconographie". Elle a suivi les cours de quechua de César Itier et Pablo Landeo Muñoz à l'Inalco. Elle est, par ailleurs, présidente de l'association Amérique, et dans ce cadre, participe à l'organisation d'évènements scientifiques et/ou culturels autour des problématiques des peuples autochtones. |
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Julien Brugeron Julien Brugeron est docteur en littérature des États-Unis, spécialiste de l’écriture des conflits armés de la fin du XIXe au début du XXIe siècle. Sa thèse, soutenue en décembre 2022 à Paris Nanterre, s’intitule « L’individu et le système : écritures de la dissension dans le roman du conflit états-unien de Stephen Crane aux écrits de la guerre d’Irak (1895-2016) ». Ses recherches portent également sur les productions esthétiques contestataires et anti-systémiques ainsi que sur les réactions plurinationales et plurilingues (latino-américaines et moyen-orientales) à l’impérialisme états-unien. |
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Nathalia Capellini Nathalia Capellini est docteure en Histoire Contemporaine à l’Université de Versailles - SQY au sein du CHCSC et est actuellement postdoctorante à l'Université de Genève. Ses recherches portent sur l’histoire environnementale et sociale de la dictature militaire brésilienne (1964-1985), notamment en ce qui concerne l’Amazonie, la construction d’infrastructures et l’organisation populaire. Elle s’intéresse aujourd'hui à l’histoire de l’énergie et ses usages en Amérique latine pendant le XXème siècle et à la circulation internationale de savoirs techniques. |
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Barbara Franchi Barbara Franchi est docteure en histoire américaine et membre du laboratoire CAS (Centre for Anglophone Studies) de l'Université Toulouse Jean Jaurès. Sa recherche doctorale a porté sur les liens spécifiques entre Le Libéria et les États-Unis (XIXème-début du XXème). Ses recherches portent plus largement sur les relations extérieures des États-Unis et l'histoire noire américaine, notamment sur le positionnement des diplomates noirs américains. |
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Cléa Fortuné Cléa Fortuné est maître de conférences en civilisation américaine à l’Université Sorbonne Nouvelle (LEA), membre de CREW (EA 4399) et de l’ILCEA4 (Université Grenoble Alpes). Sa thèse s’intitule « Sécurité frontalière, insécurité locale dans les borderlands États-Unis/Mexique et a été soutenue à la Sorbonne Nouvelle dans l’équipe CREW (EA 4399, Center for Research on the English-Speaking World).. Ses recherchese portent sur la sécurité à la frontière États-Unis/Mexique.
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Cristina García Martínez Cristina García Martínez est doctorante en études hispaniques à l'université de Grenoble Alpes (France) et en études de genre à l'Université Rovira i Virgili (Espagne). Sa thèse s'intitule "Aide humanitaire, genre et numérique : l';mage des femmes dans les ONG. Le cas du Chocó (2000-2020)". Ses recherches portent sur les études de genre et la question coloniale dans l'aide humanitaire à travers la photographie humanitaire numérique. Elle a effectué un séjour de recherche à l'Université Tecnológica del Chocó, Diego Luis Córdoba (Colombie) et elle est autrice de plusieurs articles scientifiques. Elle a été Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche (ATER) en Civilisation de l’Amérique latine à l'Université de Grenoble Alpes dans les licences langues étrangères appliquées et littératures et civilisations étrangères et régionales. Elle a également été enseignante dans le master de Coopération Internationale et Communication Multilingue. |
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Fabian Plazas Fabian Plazas est doctorant en Histoire à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Il fait partie du Centre de recherche de l'histoire de l'Amérique latine et du Monde Iberique -CRALMI, ainsi que du Laboratoire Mondes Américains UMR-8168. Riche de 6 ans d'expérience professionnelle dans l'enseignement universitaire en Colombie, aujourd'hui il concentre ses recherches de manière générale sur l'histoire des contemporaine latinoamericain, mais plus précisément sur l'histoire des relations internationales des années 1980, concernant les conflits armés, les processus de paix et la diplomatie pour la paix, notamment en Colombie, au nicaragua et aux Etats Unis. |
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Antonio Ramos Ramírez Antonio Ramos Ramírez est actuellement Maître de conférences à l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 et chercheur titulaire du Laboratoire d'études romanes. Il est docteur en Histoire de l’Amérique latine-Mention Doctor Europeus, de l’Université Pablo de Olavide de Séville (Espagne), avec une thèse intitulée : ATEP. De la escuela a las calles : construcción y transformaciones del sindicalismo docente tucumano, 1949-1976. Pour ce travail il a reçu le Premio Extraordinario de Doctorado de l’année 2015-2016. Ses travaux portent sur l’histoire du mouvement syndical des enseignants en Argentine et, plus généralement, sur l’Histoire sociale de l’Argentine dans les années 60 et 70. |
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Etienne Sauthier Etienne Sauthier est docteur en Histoire de l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle et chercheur associé au Centre de Recherche et de Documentation sur les Amériques (CREDA). Sa thèse de doctorat, intitulée « Combray sous les Tropiques » a porté sur la diffusion, la réception, les interprétations et la traduction de l’œuvre de Marcel Proust au Brésil et, de manière plus globale, sur la circulation transatlantique de la littérature comme de l’objet-livre. Enseignant dans le secondaire actuellement, il s’intéresse en parallèle à la circulation de la culture et en particulier du livre entre la France et les Amériques en temps de crise (notamment pendant la Seconde Guerre mondiale), dans une perspective d’histoire globale et connectée. Il est membre du comité de rédaction de la revue RITA depuis 2013. |
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François Weigel est docteur en littérature brésilienne et littérature comparée de l’Université Clermont Auvergne (UCA) et de l’Université de l’État de Rio de Janeiro (UERJ), après une thèse sur la représentation des grandes villes dans le roman brésilien contemporain. Il est membre associé du CELIS (Centre de recherches sur les littératures et la sociopoétique), à la Maison des sciences de l’homme (MSH) de Clermont-Ferrand. Il a travaillé, avant son doctorat, comme journaliste culturel au journal Le Monde, où il a tenu un blog, publiant notamment des articles sur la littérature brésilienne. En 2018, il était chargé de mission à l’édition et à la recherche, auprès de l’Institut des Amériques (financé par le CNRS), et après avoir occupé les fonctions de lecteur de FLE à l’Université fédérale du Rio Grande do Norte (UFRN), il est désormais professeur de « langue française et littératures » dans cette même université. |
Anciens et anciennes du comité de rédaction de RITA :
- Jessica Brandler-Weinreb
- Emma Chaouane
- David Copello
- Guillaume Duarte
- Lucie Elghoyen
- Bruno Hervé Huamani
- Paul Lebret
- Aurélie Lelièvre
- Julie Liard
- Clément Petitjean
- Thomas Posado
- Nasser Rebai
- Céline Raimbert
- Luisa Sanchez
- Florabelle Spielmann
- Carla Tomazzini
- Julio Valdebenito